de Pedro Almodóvar, 2011, ** Y’a plein de bonnes idées — le traitement qu’un scientifique qui a justement besoin d’un cobaye peut réserver à un violeur, la relation entre une
de Seth Gordon, 2011, *** Qu’en dire ? C’est exactement ce qu’on peut en attendre : des numéros d’acteurs impayables (Spacey en sadique brutal, j’adore, Farrell en cynique cocaïnomane, ça passe toujours,
de Rupert Wyatt, 2011, **** La planète des singes est un cas particulier. C’est un des premiers “filons” qu’une maison de production ait exploité avec avidité jusqu’à son tarissement
de Joseph Michael Straczynski, 2002–2003, **** Que se passerait-il si, du jour au lendemain, tous les adultes disparaissaient ? C’est ce qui arrive après la “Grande mort”, une maladie
de Nick Hamm, 2010, *** Encore un film sur les rockeurs ? Ben oui, encore un. Mais pas sur n’importe quels rockeurs : sur des loosers. Des vrais. Pas des mauvais, non, des
Aujourd’hui, des potes se sont plaints. Apparemment, leurs minots ont été traumatisés par Cars 2. Là, je me dis : “ah oui, ils ont quoi, six et quatre ans ?
de Jeffrey Jacob Abrams, 2011, **** Merde alors : JJ Abrams s’est décidé à faire quelque chose de vraiment bien. Je sais, ça fait un choc. Après Alias, série dont j’ai
de Jean-Luc Godard, 1963, * C’est dingue, le pouvoir d’une photo. J’ai vu récemment une image qui m’a fait penser à ce film, au point que j’ai été le
de Brad Lewis et John Lasseter, 2011, ** Euh… Ah ? Ben, okay alors… ‑_-’ Oups, on me dit que c’est un peu léger comme argumentation. Vous le savez, une
d’Olivier Megaton, 2011, *** Dans le mixeur à scenarii de Luc Besson, aujourd’hui : Léon (autant se copier soi-même, s’pas ?), Il était une fois dans l’Ouest, Mort ou vif (Sam Raimi,